La semaine internationale du dauphin captif
(du 1er au 7 juillet)
La semaine d’action en faveur des dauphins captifs (World Week of Action for Captive Dolphins) se déroule du 1er au 7 juillet. Instituée en 1992 par le groupe britannique Cetacea Defence, la journée d’action dédiée à cette cause (le 4 juillet) s’est ensuite étirée sur une semaine entière.
Je ne sais pas encore quel est le contenu exact des actions entreprises à cette occasion, mais le principe est simple : ne pas se rendre dans les lieux qui exploitent les dauphins captifs (type Parc Astérix, Marineland d’Antibes ou Planète Sauvage à Port-Saint-Père) et promouvoir les informations susceptibles de faire changer l’attitude de l’opinion publique sur la captivité des dauphins et des cétacés.
Voici ma petite contribution, pour tenter de faire connaître un peu mieux la situation des dauphins captifs et l’impact de la captivité : 10 bonnes raisons de ne pas se rendre dans les delphinariums (…ou pourquoi dresseur de dauphins n’est pas un métier d’avenir).
Pour trouver plus d’informations en français sur les méfaits de la captivité des dauphins, je vous conseille également ce site : dauphins libres.
[…] l’occasion de la semaine internationale du dauphin captif (du 1er au 7 juillet), voici dix bonnes raisons de ne pas se rendre dans les endroits qui exhibent […]
[…] l’occasion de la semaine internationale du dauphin captif (du 1er au 7 juillet), voici dix bonnes raisons de ne pas se rendre dans les endroits qui exhibent […]
[…] de l’interviewer puis de le rencontrer devant le delphinarium de Bruges, à l’occasion de la semaine internationale du dauphin captif en 2004. Durant cet entretien, il m’a expliqué les raisons de son engagement, ainsi – entre […]
Tout à fait moi je suis pour qu’ils restent dans leur environnement naturel.
Et Non En captivité , juste en qu’à de sauvetage si c’est nécessaire.
Pour les aider à prendre leur vie naturel , Leur merveilleux monde bleu , dit l’océan.
Bon weekend.
J’ai entendu crier les Dauphins en captivités. Je venais de faire un tour sur le dos de l’un d’eux. PLUS JAMAIS –