Voilà un titre qui en laissera pantois plus d’un. 😉 L’article qui suit est une traduction d’un billet posté par Megan Erickson sur le site BigThink.com.
« D’après les estimations tirées du télescope Hubble, il y a approximativement 125 milliards de galaxies dans l’univers. The Drake Equation, le manifeste du SETI Sans un langage commun, une rencontre du troisième type pourrait se révéler aussi vaine qu’une chaîne d’emails dans laquelle chacun appuierait sur le bouton « Répondre à tous » sans que quiconque ne lise le message de personne. […] Et que vous adhériez ou non à la théorie des méchants-aliens-colonisateurs de Stephen Hawking, les conséquences d’une mécompréhension intergalactique aurait des conséquences autrement plus dommageables qu’énerver quelques scientifiques. « Il existe beaucoup d’espèces sensibles sur notre propre planète, et elles constitueraient sans doute un bon modèle pour commencer à s’intéresser à la manière dont nous pourrions communiquer avec des espèces extraterrestres », explique Denise Herzing, fondatrice et directrice du Wild Dolphin Project. Herzing documente depuis trois décennies les échanges quotidiens d’une communauté de dauphins tachetés sauvages au large des côtes des Bahamas, dans l’espoir de trouver l’équivalent delphinien de la Pierre de Rosette. Herzing et son équipe passent leurs journées en mers, à observer, filmer et occasionnellement interagir avec des dauphins. Ensuite, ils numérisent et indexent les données brutes, tout en cherchant des modèles (patterns) qui permettrait de nous éclairer sur les processus cognitifs « complexes et sous-étudiés » de ces animaux. (Ils ont même créé un clavier waterproof pour faciliter une communication bilatérale.) Tout comme les humains, les dauphins ont des règles sociales, des responsabilités, ils forment des alliances, explique Herzing. Ils enseignent à leurs petits de nouvelles aptitudes et se lient avec leurs parents et au sein de la fratrie. Et pourtant, « il n’y a probablement pas d’espèce plus extraterrestre. » Déchiffrer le langage de leurs sons et de leur comportement pourrait par conséquent nous éclairer sur l’évolution et les différentes formes d’expression d’un esprit totalement différent de celui de l’être humain, tout en éclairant nos propres faiblesses cognitives et en nous permettant « potentiellement, de comprendre comment les surmonter ». C’est la clef, pense la chercheuse, qui nous permettra de bâtir un véritable échange interspécifique. Dans un article intitulé « Dolphins as a model for real time interaction and communication with a sentient species« , Herzing demande : « Existe-t-il des universaux de la communication que serions susceptibles de découvrir en étudiant une espèces autre que la nôtre ? » Apprendre le protocole culturellement approprié a été important pour la relation avec cette société étrangère à l’homme. Pour s’engager dans une interaction avec les humains, les dauphins initient souvent des démonstrations, des imitations, des synchronisations spontanées. Ces éléments pourraient être des caractéristiques émergentes/universelles de toute espèce intelligence en contact avec une autre avec l’intention d’initier une interaction. Ceci devrait être pris en compte pour une interaction et un contact en temps réel dans les futurs travaux du SETI. Mais plus importante encore que de regarder vers les étoiles, il y a notre action collective ici sur Terre. « Les humains doivent se replacer dans la nature et se regarder dans le contexte d’un monde plus large, qui inclue d’autres espèces sensibles et des écosystèmes complexes », explique Herzing. « Je pense que de cela dépend notre propre survie sur la planète Terre, sans même parler de celle de millions d’autres espèces. » Ceci constituera également le test le plus décisif auquel sera soumis notre propre intelligence. De votre côté, qu’en pensez-vous ? les dauphins peuvent-ils nous aider à comprendre la communication entre espèces extra-terrestres ? Pensez-vous d’ailleurs que l’espèce humaine entrera un jour en contact avec une espèce extraterrestre ? BigThink.com : How Dolphins Could Help Us Communicate with Aliens Denise Herzing : Dolphins as a model for real time interaction and communication with a sentient speciesQuelle est la Grande Idée ?
Quelle est l’importance de tout cela ?
Sources :
Bonjour,
Je tire mon chapeau à Denise Hertzing qui, par cet article intelligent, a su mettre le doigt sur une future et certaine communication inter espèce. Biensur que nous ne sommes pas seuls dans l’univers et heureusement car s’il y avait que les humains, notre belle planète bleue n’existerait plus depuis longtemps….
Il y a d’autres formes d’entités très intelligentes, plus avancèes que nous et bienveillantes et ils doivent vraiment se marrer quand ils voeint que les humains en sont encore à tuer ou massacrer ou enfermer des dauphins alors que ces cétacés eux mêmes très intelligents ont énormément à nous apprendre et ont existé bien avant l’humain. Alors en effet, que tous nos efforts scientifiques soient tournés vers eux et vers les baleines dans leur milieu naturel pour essayer de comprendre leur langage, mais il faut aussi accepter d’entrer dans une démarche spirituelle pour être plus à l’écoute de la nature,de nos ressentis, de nos intuitions……c’est ce que font les dauphins entr’autres pour nous connaitre. Peut être est ce pour bientôt, en tous cas je l’espère vraiment pour le bien de toute l’humanité, pour le respect de tout ce qui vit. Et lorsqu’on y sera arrivé alors on pourra communiquer avec d’autres entités intelligentes….
Bien à vous
Bonjour,
Oui, l’étude cognitive de certaines espèces terrestres en dehors de l’homme peut nous servir de tremplin pour une main tendue vers un début de communication avec des EBE’s (entité biologique extraterrestre).
L’étude, la protection et le respect total des dauphins, et de toutes les autres espèces animales peut s’avérer très riches en enseignement.
Pourquoi en ce début du 21ième siècle, nous avons aussi peut d’intérêt à essayer d’entrer en contact avec des EBE’s et avons tout aussi peut d’intérêt à préserver la vie sur notre planète ?
La position résolument anthropocentrique de notre système de pensée est pour beaucoup dans ce manque d’intérêt planétaire à toute tentative officielle d’essayer d’entrer en contact avec une civilisation extraterrestre.
Pour beaucoup, nous sommes toujours au centre de l’Univers. Intellectuels et scientifiques de renoms, de toutes disciplines, pensent encore aujourd’hui que l’Univers a été conçu tel un berceau pour accueillir l’Humanité et seulement elle.
Alors que la question de la vie en dehors de la Terre a toujours été l’une des préoccupations inconscientes de l’Humanité, très peu de moyens ont été mis en oeuvre, ne serait-ce depuis un siècle, pour résoudre définitivement cette question fondamentale qu’elle se pose depuis son apparition sur Terre. Une fois de plus, pourquoi ?
1) Nous sommes le centre de l’univers et de fait, d’un point de vue philosophique et scientifique il n’est pas nécessaire d’aller plus loin dans cette réflexion. Cette attitude, avant tout rassurante et protectionniste, est l’un des premiers freins à toutes tentatives de contacts directs entre les terriens et les civilisations extraterrestres.
2) Un phénomène, lui aussi inconscient de protection naturelle, fait que l’Humanité évite de poser des questions fondamentales aux dirigeants de ce monde. Questions qui pourraient selon elle l’entraîner, dans sa réponse, vers sa destruction totale, ou tout au moins vers une telle remise en cause, un tel changement de paradigme, que les effets en seraient aussi dévastateurs d’un point de vue social, philosophique, scientifique, économique et politique.
3) L’assurance et la prétention démesurée caractéristiques de la plupart de nos scientifiques qui pensent avoir réponse à tout et qui ne pourraient supporter l’affront d’une découverte d’une vie intelligente en dehors de Terre. La découverte demain d’une vie extraterrestre structurée, organisée, d’une civilisation hautement évoluée, plus que la nôtre, entraînerait une débâcle possible de nos institutions scientifiques. Nos penseurs savent cela, et c’est aussi pour cette raison qu’ils ne font presque rien dans une démarche officielle à très grande échelle de la quête de la vie intelligente extraterrestre.
4) Les circonstances géopolitiques actuelles font que l’humanité n’arrive pas s’extraire de ses propres problèmes et ne voit pas l’utilité hautement positive qu’un tel contact pourrait entraîner pour elle. Et donc, encore moins avec les Dauphins ou toutes autres espèces !!!!…
5) La volonté semble-t-il délibérée des gouvernements de ce monde d’éviter ouvertement pour le moment la question, sachant peut-être par avance que la réponse à celle-ci pourrait entraîner sur les peuples de ce monde des bouleversements incontrôlables et irrémédiables. Il n’est pas pensable, en ce début de 21ème siècle, que les gouvernements des pays les plus riches de la Terre ne se soient pas posé une fois la question, ne serait-ce que du fait des premières vagues d’ovni des années 50, même si celles-ci n’avaient peut-être rien à voir avec une quelconque démonstration de force, puissance et intelligence d’une civilisation extraterrestre.
Il faut bien se rendre compte que du point de vue terrien, vouloir déclencher officiellement un contact direct avec une civilisation extraterrestre relève avant toute chose du domaine de la détermination, du vouloir, de la prise de conscience du besoin de sortir du berceau de vie originelle de la Terre, en reconnaissant qu’elle est sa véritable place dans l’univers, au même titre que toutes les autres espèces vivantes, comme les Dauphins par exemple.
Donc, du point de vue de l’Humanité cela est avant tout du domaine de la volonté de tendre la main vers l’autre, vers sa destinée, et non des moyens à mettre en oeuvre, tant scientifiques que technologiques.
Si nous prenons la question du point de vue d’une civilisation extraterrestre, il en est tout autrement.
Il ne faut pas oublier une donnée fondamentale, celle du temps.
En effet, nous sommes entourés de millions, de milliards d’étoiles, bien plus âgées que notre Soleil. Il semble logique et évident que nous devrions être entourés d’une multitude de civilisations ayant un âge bien plus avancé que notre civilisation.
À ce titre, leur niveau technologique, scientifique serait tout aussi avancé. Assez avancé pour qu’ils puissent avoir migré depuis des milliers d’années vers de nouveaux mondes, nouveaux systèmes solaires, nouvelles galaxies.
Maintenant, imaginons qu’ils soient depuis longtemps à nos portes, pourquoi ce manque de contact direct entre nos civilisations, comme ce manque de contact entre les humains et les Dauphins par exemple ?
Tout simplement, dans un premier temps, parce que des structures aussi différentes ne peuvent communiquer, sans que l’une d’elles, la plus faible, la plus primitive, ne soit elle-même arrivée à un stade d’évolution lui permettant cette communication.
Nous en serions ce jour seulement au stade de l’observation permanente, comme nous le faisons avec nos amis les gorilles des montagnes d’Afrique ou les colonies de fourmis rouges d’Indonésie.
Pour qu’une civilisation décide de communiquer avec une autre, c’est pour une raison précise : elle recherche quelque chose, elle a besoin de quelque chose. À ce stade, il y a contact, puis échange.
Si une civilisation pense ne rien pouvoir apprendre d’une autre, ne rien recevoir en échange d’un contact direct, ce contact sera automatiquement absent, interdit ou protégé.
Absent, uniquement par désintérêt, indifférence.
Interdit, parce que certaines civilisations extraterrestres peuvent tout simplement protéger en toute discrétion, certaines civilisations dites » primitives » comme la nôtre, des intentions « belliqueuses » d’autres races, d’autres peuples, d’autres civilisations moins bien intentionnées.
Protégé, tout simplement parce que certains contacts ne sont autorisés qu’à des fins très spécifiques entre civilisations évoluées et » primitives « , sans qu’il y ait interaction négative dans le bon déroulement de l’évolution de la civilisation la moins évoluée.
Notre civilisation terrestre n’est qu’au tout premier stade de son évolution. Cela fait si peu de temps que nous émettons des ondes électromagnétiques, que nous voyageons d’un continent à un autre, que nous effectuons des sauts de puces en dehors de notre atmosphère.
Il se peut que notre monde ait été visité de très nombreuses fois depuis sa création par diverses espèces, ethnies et peuples extraterrestres, et ce, sans laisser aucune trace apparente de leurs passages.
Une fois de plus, il faut un intérêt déclaré pour pouvoir déclencher un contact direct, officiel.
À ce jour, rien ne nous dit que ce contact n’a pas déjà eu lieu.
Comme rien ne nous dit que le monde des Dauphins n’a pas effectué une démarche concrète et officielle pour entrer directement en contact avec l’homme !
Certains d’entre nous savent combien il est important, urgent, essentiel et vital de tout faire pour essayer d’entrer en contact direct avec une ou plusieurs civilisations extraterrestres, et ce, pour le bien de l’humanité.
Le programme SETI d’origine (Search for ExtraTerrestrial Intelligence – Recherche d’une Intelligence Extraterrestre), créé à la fin des années cinquante, a été conçu dans l’objectif d’essayer de repérer des ondes électromagnétiques émises par des civilisations étant entrées dans le stade industriel, technologique et scientifique.
SETI regroupe des projets dont le but est de détecter les signaux qu’une intelligence non terrestre pourrait émettre, volontairement ou non, depuis sa planète d’origine. Pour cela les projets analysent les ondes radio ou laser provenant de l’espace et essayent de détecter les signaux par opposition au bruit de fond.
Cependant, ce n’est pas une civilisation hautement évoluée qui serait potentiellement détectable, mais une civilisation dite » primitive « , comme la nôtre. Une civilisation ayant des milliers d’années d’avance scientifique sur la nôtre ferait tout pour être indétectable par des recherches d’une civilisation » primitive « .
La problématique de la recherche SETI traditionnelle est d’essayer de trouver une preuve de l’existence d’émissions électromagnétiques intelligentes en dehors de la Terre.
Malheureusement, la probabilité d’une telle découverte, si elle n’est pas intentionnelle, est extrêmement faible, d’où la réflexion du Projet Phenix, projet français, pour une nouvelle approche de la problématique de la découverte de la preuve, puis du stade final, celui du contact direct.
L’approche de Megan Erickson est une véritable action proactive de compréhension entre différentes espèces.
La multiplication de ces études et actions sur la surface de la planète Terre pourrait permettre à des « EBE’s observateurs » de comprendre que l’espèce humaine est en train d’évoluer dans « le bon sens », à savoir, entrer progressivement dans la grande famille galactique et de l’univers.
L’une des conséquences pourrait être un déclenchement anticipé d’un contact direct et massif, planétaire par le EBE’s…et ce, pour un changement radical de paradigme, et donc, l’entrée dans une nouvelle voie d’évolution pour l’Humanité et toutes les espèces vivantes de notre magnifique vaisseau spatial ; la Terre.
Que pourrais-je ajouter aux textes magnifiques de ces ceux vrais génis et sinon que le contact avec des Dauphins, tout autant qu’avec des Extraterrestres pourrait bouleverser nos philosophies, nos religions et remettre même en question nos origines…
Surtout qu’il ne faut pas oublier que l’Inde reconnaît les Dauphins comme étant des c’est-à-dire .
Pourquoi a-t-on retiré la classification que l’Inde a donné aux Dauphins de mon texte: Personnes Non Humaines ? Je ne comprends pas…